Dé-couvrir car il est parfois caché… Aujourd’hui, je vais te raconter une histoire. Celle qui te conte ce que tu ignores faute de l’avoir reconnu.

Il était une fois un potentiel…
Il n’était pas toujours visible au premier regard. Il se cachait parfois sous des couches épaisses d’auto-jugements, de croyances héritées, de projections et de non-conscience, nourri aussi par des expériences difficiles passées
Il se planquait derrière la timidité et certains mots qui racontent : « ce n’est pas pour moi » ou bien derrière le silence : il faut se taire pour ne pas déranger.
Mais voilà, un jour, il fût invité à sortir de la zone de confort. Celle des habitudes de penser, des automatismes, des « c’est comme ça, je n’y peux rien ». L’invitation vint d’un regard bienveillant, d’un regard qui ne fût pas dupe des apparences. Un regard perçant, de ceux qui vont droit au cœur sans passer par l’opinion et le préjugé.

Courage du latin cor : cœur
Des paroles en-courageantes proposèrent une 1ère expérience. Elles ne promettaient pas la maîtrise, seulement l’aventure. Elles invitaient à l’exploration. En apparence maladroit et fragile, il s’en trouva surpris : « Je ne savais pas que j’existais ! Tandis qu’il découvrait une joie qu’il n’avait pas osé nommer.
La curiosité l’emporta sur les habitudes.
Le potentiel ne se manifesta pas comme un éclair soudain, mais plutôt comme une pousse qui perce la terre après des saisons à être restée enfouie. À mesure qu’on le regardait, il grandissait ; à mesure qu’on l’exerçait, il se transformait. La perception seule suffisait parfois à le faire jaillir ; parfois, c’était l’action qui le révélait entièrement.
Chemin faisant, ce qui avait débuté sous forme d’une intention devint expérience. Ce qui ressemblait auparavant à une possibilité vague se fit habileté.

Et ainsi, ce qui avait été enfoui prit forme dans le réel.
La surprise fut légère, comme un sourire retrouvé : on ne s’attendait pas à trouver un trésor, et pourtant il attendait là, patient.
Peu à peu, le potentiel se déploya et, touché par l’action répétée, se mua en compétence.
Celles et ceux qui ont osé le suivre et qui avaient commencé chargés de doutes s’en trouvèrent, non pas remplis de certitudes immuables, mais avec quelque chose de tangible qu’ils pouvaient utiliser : une petite compétence, un courage nouveau, une nouvelle habitude qui commença à grandir.
Celles et ceux qui ont osé grandir, apprirent une leçon d’une grande simplicité : le potentiel existe, même quand on ne le voit pas. La conscience d’eux-mêmes trouva plus d’espace. La confiance suivit.
Il suffit parfois d’un jour ou d’une semaine, d’un pas hors de sa zone de confort, d’un regard bienveillant pour qu’il se montre et s’installe dans la vie.
L’âme agit…
Cette histoire peut s’apparenter à un conte de fée… sauf si tu décides que la magie- l’âme agit*- fait partie de ta vie ! Les contes peuvent naitre des histoires de vie. Ils permettent de dépasser l’expérience personnelle pour devenir universels !
Cette histoire peut être ta réalité seulement si tu oses t’envisager autrement !
Elle demande ta confiance en tes ressources inconnues. Ton lâcher prise pour favoriser les révélations.
Un accueil sans condition de résultat… elle te demande de te voir à travers tes yeux d’enfant : ceux curieux de l’inattendu et de l’inconnu !
Ceux qui ouvrent l’espace aux potentiels et leur permettent de se déployer.
Patricia Verneret
Coach de vie, formatrice, auteure
- Je joue avec le son des mots, c’est aussi ce que l’on appelle « le langage des oiseaux »
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